mercredi 14 mai 2008

Conclusion

Voilà, j'ai retravaillé notre conclusion car je trouvais la précédente beaucoup trop centrée sur l'histoire de l'art alors que toute ma partie est liée à l'archéologie. Si tu as des remarques, n'hésite surtout pas.


La Rome Impériale est avant tout le fruit de conditions politiques, sociales et économiques et également la cité qui a permit, au cours de son apogée, de renforcer le pouvoir des empereurs du Ier siècle av. J-C et au moins jusqu’au IVème siècle apr.
Avec l’élargissement des frontières de l’Empire bien au-delà de son territoire initial on peut y percevoir des influences étrangères, mais malgré cela Rome à su s’en distinguer, et créer ses propres goûts architecturaux et artistiques qui ont marqué la ville et les différents règnes.
A la suite de cette étude nous avons démontré les trois caractéristiques qui ont essentiellement composé Rome au sein du pouvoir impérial avec tout d’abord la volonté de servir de propagande, puis les apports liés aux anciennes et aux nouvelles pratiques religieuses des Romains. Et enfin, quant à la troisième, elle réside dans la mise en place d’une véritable instrumentalisation et industrialisation de l’art qui reflète en fait une nécessité : la mise en place d’une hégémonie et d’une unification de l’Empire, autant politique que culturelle. En conséquence, cette étude nous permet d’envisager l’importance qu’a pu jouer Rome au service des empereurs mais aussi l’importance qu’à pu avoir de telles pratiques artistiques dans l’histoire de l’art Occidental.En effet, son influence fut considérable, notamment sur l’art chrétien primitif, en marquant les arts des régions qu’elle avait sous sa domination (Espagne, Gaules, Moyen-Orient…). Ainsi, elle a donc pu servir de modèle pour certaines pratiques artistiques du Moyen Age Occidental et de la Renaissance.
De tels faits rendent donc indispensable l’étude de cette période pour les archéologues et historiens de l’art, en vue d’en saisir tout son sens, et de mieux comprendre l’évolution de l’histoire antique et de celles qui suivront.

jeudi 1 mai 2008

Proposition de conclusion générale:

Voilà ma proposition, c'est un premier jet, n' hésite pas à la modifié...
bises.


" CONCLUSION :

L’art de la Rome Impériale est le fruit de conditions politiques, sociales et économique, qui ont favorisé nouveautés et harmonisation des arts.
Certes l’influence grecque et étrusque est présent, mais la Rome impériale à su s’en distinguer, et créer ses propres codes artistiques.
A la suite de cette étude nous avons démontrer les trois caractéristique de cet art. La principale est la volonté de servir de propagande, la seconde est intimement liée aux nouvelles pratiques culturelles et religieuses des Romains. La troisième, réside dans la mise en place d’une véritable instrumentalisation et industrialisation de l’art, celles-ci répondent à une nécessité : Une hégémonie de l’empire, autant politique que culturelles. En conséquence, cette étude nous permet d’envisager l’importance qu’ a pu avoir de telles pratiques artistiques dans l’histoire de l’art Occidental.
Son incidence est considérable, notamment sur l’art chrétien primitif, en marquant les arts des régions qu’elle à sous son joug (Espagne, mode Gallo-romain, Moyen-Orient…). Certes avec une incidence plus ou moins marquée, elle a influencé, certaines pratiques artistiques du Moyen Age Occidental et de la Renaissance.
De tels faits rendent indispensable l’étude de cette période pour les archéologues et historiens de l’art, en vue d’en saisir tout son sens, et de mieux comprendre les origines de l’histoire de l’art occidentale.
Un fait demeure, l’art déjà dans les civilisations les plus anciennes et tribus primitives découvertes au cours des siècles, est lié à l’idée de « traces », de « pérennité », trace de faits historique, de personnes illustres, d’un individu sur terre. On comprend alors le lien important, et la nécessité de l’art pour l’Homme, les Romains ne semblent pas si différents de nous "